La fin du feuilleton Arsène Wenger. Après une longue incertitude, le manager français de soixante-sept ans se dirige vers une énième prolongation de contrat avec Arsenal. Et ceci malgré la dernière fessée infligée par le Bayern Munich (5-1 et 5-1 en 8emes de finale de la Ligue des Champions). Avec cinq unités de retard sur le quatrième de Premier League, Liverpool, les coéquipiers de Laurent Koscielny ne sont pas persuadés de disputer de disputer la prochaine édition de la C1. Mais les Gunners ont visiblement choisi de poursuivre l’aventure avec l’ancien coach de Nancy, de Monaco et de Nagoya, qui est arrivé en octobre 1996 à Londres.
Un an de plus pour Wenger
Massimiliano Allegri (Juventus) et Leonardo Jardim (Monaco) ont notamment été ciblés pour prendre la suite de l’Alsacien, mais il va apparemment falloir attendre un moment avant de sentir un vrai vent de renouveau du côté de l’Emirates Stadium. Selon certaines indiscrétions en provenance d’Angleterre, Arsène Wenger est aujourd’hui parti pour rempiler pour une saison, et ainsi mettre un terme au suspense de son avenir à la tête des partenaires de Mesut Özil. Les discussions se poursuivent, et l’optimisme est de mise.
Un recrutement sous pression
Un nouveau bail qui sera à coup sûr suivi de plusieurs mouvements lors de la prochaine période de mutations. Surtout que le Chilien Alexis Sanchez a affiché ses envies d’ailleurs, avec Paris, Séville, Turin… et Manchester comme possibles points de chute. Après les ratés de l’été dernier, Wenger et Arsenal n’auront pas intérêt à se louper (Alexandre Lacazette de Lyon et Tiémoué Bakayoko de Monaco ont notamment été approchés en L1). Une prolongation accompagnée d’une pression décuplée, mais les actionnaires du club sont globalement satisfaits par sa gestion. Tant que les dividendes sont au rendez-vous, ça a l’air de suffire…
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