Interrogé en conférence de presse, Claudio Ranieri (66 ans), l’entraîneur de Nantes, a indiqué jeudi qu’il n’était pas candidat pour le poste de sélectionneur de l’Italie. « Aujourd’hui, je pense uniquement à Nantes et non pas aux choses qui peuvent se passer demain, a certifié le natif de Rome devant les journalistes. Je ne suis pas candidat et je ne le serai jamais. S’ils me veulent me choisir, c’est bien. Mais je ne me porte pas candidat. »
Ancelotti fait office de priorité
Des déclarations qui n’empêchent pas certains contacts entre les deux parties. Alors que Carlo Ancelotti reste la priorité pour prendre la suite de Giampiero Ventura, qui a été démis de ses fonctions suite à la non-qualification pour le Mondial 2018, le coach du FCN a bel et bien été approché par les dirigeants italiens. Sous contrat jusqu’en juin 2019 avec les Canaris, l’ancien coach de Leicester City figure aujourd’hui sur la short-list de la Figc qui doit reconstruire après le fiasco suédois.
Ranieri sur la short-list
En cas d’échec des négociations avec « Carletto », qui pourrait privilégier une nouvelle expérience avec un top club européen, Claudio Ranieri présente le profil recherché pour essayer de relancer la Nazionale, la Fédération italienne ayant établi une short-list où figurent aussi les noms de Roberto Mancini (qui est lié jusqu’en juin 2020 avec le Zenit Saint-Pétersbourg), de Luigi Di Biagio (qui s’occupe aujourd’hui des Espoirs italiens) ou encore de Francesco Guidolin (qui est libre depuis l’an passé et son départ de Swansea City). Après le feuilleton de l’été dernier qui a conduit au départ de Sergio Conceição au FC Porto, le club du président Waldemar Kita doit certainement croiser les doigts en espérant ne pas connaître la même issue…
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